Qui suis-je ?

Enchantée,
je suis Marjolène,
originaire du blaisois,
et guide-conférencière depuis 2017.
Ce qui m'a poussée à devenir guide ?
Le métier de guide-conférencière est apparu comme le point de convergence naturel de différentes passions : le patrimoine, l'histoire, l'art, l'architecture, les langues étrangères. Par ailleurs, quand je découvre un nouvel endroit, j'aime comprendre ce que je vois. J'apprécie d'autant plus un paysage ou un patrimoine avec des sous-titres. A mon tour, j'ai envie de vous partager mes sous-titres et mon amour de l'histoire, du patrimoine et des arts. Je suis une bavarde qui aime échanger mais aussi écouter vos savoirs. Alors allons bavarder ensemble du Centre Val de Loire, en français, en anglais ou italien !
Mes diplômes
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licence Langues, Littératures et Civilisations Etrangères bilingue Anglais - Italien (Université de Nantes)
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licence professionnelle Guide-conférencier (Université d’Angers)
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licence à distance Histoire - Histoire de l’Art (Université de Nanterre)
Mes expériences
J'ai obtenu ma carte de guide-conférencière en 2017, notamment après avoir effectué deux stages, un à Loches (37) et une première saison à Saint-Emilion (33). Depuis, j’ai travaillé aux châteaux de Blois (41), Chambord (41), Fougères-sur-Bièvre (41) et Villesavin (41). J’ai également travaillé pour les services Villes d’Art et d’Histoire de Blois (41) et Bourges (18) ainsi qu’au palais Jacques Coeur et à la crypte de la cathédrale de Bourges (18). Enfin, j’ai réalisé quelques visites et conférences pour l’association le Bureau des Guides de Bourges.
Guide indépendante en 2025
Après toutes ces expériences variées, j’ai décidé de devenir guide indépendante en 2025 pour vous présenter les richesses du Val de Loire (ma région natale), vous accompagner et échanger pendant quelques heures, une journée ou plusieurs jours !
Mon parcours m’a amenée à guider des groupes d’horizons très différents, francophones, anglophones et italophones. J'ai côtoyé des groupes composés d’individuels, mais aussi de très nombreux groupes scolaires (de la maternelle aux étudiants), des associations, des personnes allophones, des familles, des réunions d’anciennes promotions, des comités d’entreprises, des personnes demandeuses d’asile, des professionnels en séminaire, des cousinades, des bandes d’ami·e·s, des personnes n’ayant jamais mis les pieds dans un château ou un musée... Bref, j'ai appris à discerner les besoins et attentes de chaque public et à m'adapter en conséquence. S'il y a bien une qualité qu'un·e guide doit avoir, c'est l'adaptabilité !
J'ai apprécié travailler pour tous ces groupes si différents. Le sel de notre métier, c’est bien ça : la diversité des lieux dans lesquels nous pouvons travailler mais aussi la diversité des publics. Et je tiens à ce que mon public reste varié et que l’accessibilité à la culture pour toutes et tous ne soit pas qu’un simple idéal.
Faites-moi connaître vos besoins et j’adapterai ma visite.
Plus je cerne vos attentes, plus la visite sera profitable !
Le métier de guide-conférencière
Pour finir, être guide-conférencier·e est un métier. C’est une passion, certes, mais c’est aussi un métier. Comme d’autres métiers-passions, il a le droit à une (juste) rémunération. C’est aussi un métier réglementé et reconnu par le ministère de la Culture qui délivre une carte professionnelle à celles et ceux qui ont fait les études pour l’obtenir (licence professionnelle et certains masters). Certains sites ou institutions (Musées de France ou les Villes et Pays d’Art et d’Histoire par exemple) ont obligation d’embaucher des guides-conférencier·e·s pour mener les visites guidées. Nous sommes des professionnel·le·s. Nous avons lu avidement durant des heures des ouvrages documentaires et des articles, avons assisté à des conférences, des visites... tout cela pour en extraire la “substantifique moelle” et la partager avec vous. Derrière toute visite guidée (ou conférence), il y a des heures et des heures de préparation. Car on ne s’arrange pas avec l’histoire. Aussi anecdotique qu’elle soit. L’histoire est une science qui s’appuie sur des sources. Comme toutes les sciences, l’histoire évolue. Au fil des nouvelles méthodes, des mentalités, des croisements de disciplines, de création de nouveaux champs d’études, des nouveaux et nouvelles historien·ne·s, de nouvelles sources. Parfois, il faut donc savoir se défaire de mythes pour laisser la place à de nouvelles connaissances (petite pensée pour Catherine de Médicis et Léonard de Vinci…). N’ayons pas peur, donc, de comprendre l'évolution de l'historiographie, de s’ouvrir aux nouveaux regards et d’actualiser ses connaissances.
Nous, guides-conférencier·e·s, ne sommes pas historien·ne·s. Nous sommes des passeurs d’histoire. Nous lisons les historien·ne·s pour vulgariser leur discours. Nous sommes des vulgarisateurs. Nous ne sommes pas des encyclopédies et comme tout humain, nous avons toujours à apprendre. N'hésitez pas, lors de visites, à nous faire partager votre savoir, vous aussi ! N'hésitez pas non plus à nous demander quelles sont les sources à l'origine de nos visites. Diffusons nos savoirs mutuellement !
Pourquoi un escape game urbain ?
Pour découvrir le patrimoine autrement ! J'adore tester des escape game urbains moi-même et je voulais mettre en valeur une partie de Blois un peu méconnue, dans l'ombre du Château Royal ! En prévision du bicentenaire de la naissance de Victor-Auguste Poulain en février 2025, je me suis lancé ce défi de créer un jeu sur sa vie sans renoncer à l'exactitude historique. L'escape game urbain "A la recherche du brevet Poulain" vous fera découvrir toutes les étapes de l'ascencion sociale de Victor-Auguste Poulain en vous promenant dans le centre de Blois. Programme des festivités sur le bicentenaire de la naissance de V.A.Poulain